1) Dégâts sur l'immeuble de Claude et Sidney Rapin
av. de la Sallaz 54, 1010 Lausanne
Responsabilités de Tridel, du M2, et de la Municipalité de Lausanne

Cette page est consacrée à une série de démarches suscitées par les dégâts subis par
l’immeuble de l’avenue de la Sallaz 54 à l’occasion des grands travaux engagés dans le quartier depuis 2003 par Tridel SA et le M2 sous le patronage de la Municipalité de Lausanne



       L’état général de notre immeuble s’est soudain détérioré en un court laps de temps avec l’apparition de dommages dus à des fissures dans les canalisations, ainsi que sur toutes les façades, parois intérieures, boiseries et plafonds sur les quatre niveaux qui vont de la cave au grenier.

       Le début de ce processus coïncide avec des grands travaux de la Sallaz qui ont généré des secousses et vibrations que nous avons physiquement ressenties. L’alarme que nous avons déclenchée s’est heurtée à un mur de silence auprès de toutes les instances concernées, à commencer par le Municipal des travaux Olivier Français (qui siège au Conseil d'administration de Tridel SA et du M2), ainsi que de nombreux bureaux de l’administration communale. Les responsables des deux grands projets lausannois ont dès le début décliné toute responsabilité et menti, assurant qu’aucun chantier n’a fonctionné à la Sallaz aux dates indiquées par nous et que les autres travaux se sont déroulés à des distances trop grandes pour avoir de l'effet sur notre immeuble. Ce n’est qu’après de minutieuses recherches de notre part que nous avons identifié quatre chantiers dont l’ouverture coïncide avec les secousses ressenties (dont ceux de deux tunnels de diamètre moyen dans le sous-sol du plateau de la Sallaz).

       Cette situation nous a conduit, par la voie d’un avocat, à engager auprès de la Justice de paix une procédure d’expertise hors procès. Nous espérions montrer qu’un certain nombre d’opérations ont eu des effets à travers le sous-sol du plateau de la Sallaz en dépit de la distance qui nous sépare des chantiers, alors qu’aucune autre source d’ébranlement n’a été mise en action dans le quartier à ces dates.

        Le 4 mars 2009, la Municipalité de Lausanne bloque par l'intermédiaire de son avocat toutes les démarches relatives à ce dossier.

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Images : Immeuble : • 1 • ; Façade : • 23456789 • ;
1er ét. : • 10 • ; 2e ét. : • 111213141516 • 17 • 18